Patrimoine universitaire en ligne

Estampage d’une inscription gravée sur le côté droit de l’embrasure d’une porte percée dans un mur construit en bel appareil. Le montant inscrit est une énorme pierre qui se trouve probablement à sa place originelle, c’est-à-dire à l’entrée de l’édifice mentionné dans le texte.
Acropole de Sillyon.
1ère moitié du IVe siècle a.-C.

Estampage d’une inscription gravée sur un rocher à l’ouest du site antique, non loin du village moderne d’Asarköy.
Date possible : fin du IIIe siècle.

Estampage d’un bloc de marbre gris, trouvé en 1874 par Hirschfeld, vu près de l’aqueduc.
La surface inscrite, assez rugueuse, ne semble pas avoir été polie.
Le début et la fin de la ligne 1 sont endommagés.
Deuxième moitié du IIIe siècle a.-C.

Estampage d’une stèle avec fronton orné d’une rosace. Belkis-Köleler, mur de la maison d’Abdel Ünal.
IIe siècle a.C.

Estampage d’une stèle sans fronton qui sert de marche d’escalier et dont la partie gauche avec le début de chaque ligne d’écriture disparaît sous la marche supérieure.
Petite moulure simple au-dessus de l’inscription. Belkis-Köleler, maison d’Ahmet Topal.
IIe siècle a.C.

Estampage de la partie supérieure d’une stèle sans fronton.
Belkis-Köleler, mur de la maison d’Ahmet Topal. Sous la moulure du sommet, qui a presque complètement disparu, deux rosaces. Au-dessus de l’inscription, une petite moulure simple figurant un ruban noué au centre et dont les extrémités retombent. Le texte est endommagé à droite et à gauche.
IIe siècle a.C.

Estampage d’une stèle sans fronton, découverte à Belkis-Camiliköy, aujourd’hui au musée d’Antalya (inv. n°458). Petite moulure entre les lignes 2 et 3.

Estampage d’une stèle sans fronton, trouvée à Belkis-Camiliköy, aujourd’hui au musée d’Antalya (inv. n°459). Petite moulure simple au-dessus de l’inscription.
IIe siècle a.C.

Estampage d’une stèle sans fronton, trouvée à Belkis-Camiliköy, aujourd’hui au musée d’Antalya (inv. n°461). Petite moulure au-dessus du texte.
IIe siècle a.C.

Estampage d’une stèle sans fronton, trouvée à Belkis-Camiliköy, aujourd’hui au musée d’Antalya (inv. n°460). Brisée au niveau de la seconde ligne d’écriture et endommagée à droite, d’où la disparition de plusieurs lettres à la fin de la première ligne et au début de la deuxième. Petite moulure au-dessus du texte.
IIe siècle a.C.

Estampage d’une stèle brisée en haut, trouvée à Belkis-Camiliköy, maintenant au musée d’Antalya (inv. n°463).
IIIe / IIe siècle a.C.

Estampage d’une stèle sans fronton. Belkis-Camiliköy, mur de la maison d’Osman Yilmaz. Petite moulure sous l’inscription.
IIe siècle a.C.

Estampage d’une stèle encastrée dans le seuil de la maison de Coșkun Özkan. Belkis-Camiliköy. Petite moulure au-dessus de l’inscription.
IIe siècle a.C.

Estampage d’une petite stèle sans fronton, trouvée à Belkis-Camiliköy, aujourd’hui au musée d’Antalya (inv. n°466).
La partie inférieure a disparu.
Utilisée une première fois au IIe siècle a.C. (texte dialectal), la pierre a été réemployée au IIe siècle p.C. On peut, en effet lire au dos Aύρ. ʹEπ[ί]|χτητος ʹAτ[ι]μήτου χα|τεσχεύα|σα τό χεν|οτάϕιν.

Estampage de la partie supérieure d’une petite stèle avec fronton orné d’une rosace ; trouvée à Belkis (Camiliköy ?), aujourd’hui au musée d’Antalya (inv. n°441).
Petite moulure entre les lignes 2 et 3.
A la suite -sans doute - d’une erreur du lapicide, les lettres qui suivent le premier nom de la ligne 1 ont été gravées sur une surface préalablement grattée pour faire disparaitre un premier texte. La dernière ligne est à la limite de la cassure et la base des lettres qui la composent est endommagée : l’inscription est-elle complète ?
IIe siècle a.C.

Estampage d’une petite stèle sans fronton, trouvée à Belkis (Camiliköy ?), maintenant au musée d’Antalya (inv. n° 442).
IIIe/IIe siècle a.C.

Estampage d’une petite stèle sans fronton, trouvée à Belkis (Camiliköy ?), maintenant au musée d’Antalya (inv. n°445).
IIe siècle a.C.

Estampage d’une stèle sans fronton, trouvée à Belkis (Camiliköy ?), aujourd’hui au musée d’Antalya (inv. N°444).
Petite moulure (maintenant disparue) entre les lignes 2 et 3. Sommet, côtés gauche et droit endommagés.
IIe siècle.

Estampage d’une stèle avec fronton, trouvée sans doute à Belkis, aujourd’hui au musée d’Antalya (inv. n°323).
Petite moulure entre les lignes 2 et 3.
Fin du IIe siècle a.C.

Estampage d’un fragment d’une stèle, scellé dans le seuil de la maison de Mehmet Yilmaz. Belkis-Camiliköy.
La partie droite du texte manque.
La notation par ε du /ę̄/, la forme du zêta et du sigma, l’absence totale d’apices nous orientent vers la haute époque hellénistique (IVe siècle ?).

Estampage d’une petite stèle sans fronton, trouvée à Belkis, maintenant au musée d’Antalya.
IIIe/IIe siècle a.C.

Belkis-Köleler. Estampage d’une stèle avec fronton orné d’une rosace, encastrée dans le mur de la maison de Ramazan Kaçar.
IIe siècle a.C.

Estampage d’un fragment de stèle, encastré dans le mur d’une maison du village. Belkis-Köleler
Petite moulure au-dessus de l’inscription.
IIe siècle a.C.

Estampage d’une stèle avec fronton (très endommagé), découverte sans doute à Belkis, aujourd’hui au musée d’Antalya. La partie inférieure a disparu. Au-dessus de l’inscription, une petite moulure figure un ruban noué au centre et dont les extrémités retombent parmi les lettres des lignes 1, 2 et 3. Entre le fronton et cette moulure, deux rosaces.
IIe siècle a.C.

Estampage d’un fragment de pierre funéraire, trouvé dans les ruines et vu par Miss Hereward dans la maison du gardien. Belkis-Köleler.
D’après le style de l’écrit (alpha à barre droite, gamma archaïque, absence d’apices), haute époque hellénistique (IVe siècle ?).